Talleyrand
https://www.persee.fr/doc/rhmc_0996-2743_1900_num_2_1_4162
Cans Albert. Les idées de Talleyrand sur la politique coloniale de la France au lendemain de la Révolution. In: Revue d'histoire moderne et contemporaine, tome 2 N°1,1900. pp. 58-63.
L'article date de 1900 et l'auteur est favorable à colonisation, mais il est instructif.
Il suffit de remplacer "grand mérite" par "grande responsabilité" dans sa dernière phrase.
Talleyrand pré 1830
Directoire.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62587z
Essai sur les avantages à retirer de colonies nouvelles dans les circonstances présentes
Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de. 1797
/campagne d'Egypte.
L'expedition d'Egypte, 1798-1801 v 1 - La Jonquière - 1899
p151+ https://archive.org/details/la-jonquiere-lexpedition-d-egypte-1798-1801-v-1/page/150/mode/2up
https://archive.org/details/correspondanced00pallgoog/page/n9/mode/2up
Le ministère de Talleyrand sous le Directoire / Avec introd. et notes par G. Pallain
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Consulat
Actes Du Gouvernement. Rapport fait au premier consul, en sénat, par le ministre des relations extérieures, le 20 fructidor an 10 - Charles Maurice de Talleyrand-Périgord
https://books.google.fr/books?id=D9ZgAAAAcAAJ&hl=fr&pg=PP3#v=onepage&q&f=false
Mémoires Tome 1 p78-79 (la partie est nommée 1754-1791, mais il parle de 1802.)
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k213762f/f117.item
Si le gouvernement y eut donné suite ; si, au lieu de sacrifier tout ce qui restait de la belle armée d'Egypte, au vain espoir de reconquérir Saint-Domingue, on eût dirigé contre les Etats barbaresques cette force imposante et déjà acclimatée ; il est probable que ma philosophie fût devenue pratique, et que la France, au lieu d'avoir détruit en peu de mois une belle armée à Saint-Domingue, se serait solidement établie sur la côte africaine de la Méditerranée et nous aurait épargné le gigantesque et désastreux système continental.
Les traités que Talleyrand mentionne dans ses mémoires :
Clerc - Recueil des traités de la France
438 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k95781s/f456.item 19 juin 1801 Tripoli
476 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k95781s/f494.item 29 novembre 1801 bref Pie VII
482 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k95781s/f500.item 23 février 1802 Tunis
487 (bas-488) https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k95781s/f505.item 27 mars 1802 GB
588 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k95781s/f606.item 25 juin 1802 Porte
Quelques liens d’ouvrages évoqués
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96036416?rk=21459;2
Choiseul-Gouffier : la France en Orient sous Louis XVI / par Léonce Pingau - 1887
p62 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96036416/f84.item
mémoires T1 p72
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k213762f/f111.item
Le département des affaires étrangères pendant la révolution 1787-1804 / par Frédéric Masson , p428
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2015231/f441.item
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9629617z/f361.item
revue d'histoire diplomatique 1890 lettres stael 79, 209
/ mémoires T1
233-249
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Talleyrand aussi connecté à Jacob Bacri. Au moins de 1797 à 1820
Lors de chaque étude le concernant potentiellement, le garder à l’esprit.
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Talleyrand post 1830
(protagoniste de la trajectoire de la révolution de 1830 (lorsque le jeune Thiers va voir Louis-Philippe, c'est en tant que "commis" de Talleyrand).
introduction de la thématique du silence.
revue des deux mondes 1885- Camille Rousset
p54
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k871206/f55.item
Dès le 27 novembre 1830, le prince de Talleyrand, ambassadeur à Londres, écrivait au général Sébastiani, ministre des affaires étrangères : « Quant à Alger, j'ai évité d'en parler; j'aimerais bien que nos journaux en fissent autant.
Il est bon qu'on s'accoutume à notre occupation, et le silence en est le meilleur moyen. Je crois que l'opinion a changé sur cette question en Angleterre, et que nous n'éprouverons pas d'insurmontables difficultés lorsqu'il s'agira de la traiter. »
Pendant plus de quinze mois, le silence diplomatique, du moins le silence officiel, fut complet. « La discussion qui a eu lieu avant-hier aux communes, écrivait M. de Talleyrand, le 9 mars 1832, a reporté l'attention sur Alger, j'en éprouve quelque regret.
Nous devons toujours préférer que notre possession sur la côte d'Afrique reste pour ainsi dire oubliée. » Le général Sébastiani répondait, le 14 : « Je pense comme vous, prince, qu'il faut éviter autant que possible de toucher à aucune des questions qui se rapportent à l'occupation d'Alger par les troupes françaises. Malheureusement, la conduite des agents consulairesde la Grande-Bretagne, dans cette partie de l'Afrique, est peu compatible avec le système de réserve et de ménagements dans lequel nous voudrions nous renfermer. Animés à notre égard d'une évidente malveillance qu’ils ne puisent certainement pas dans les instructions du cabinet de Londres, ils semblent se plaire à susciter des embarras à nos généraux ; ils s’opiniâtrent à vouloir donner à leurs attributions une extension qui pouvait se concilier avec le régime et le système de droit public d’un gouvernement mahométan, mais que repoussent nécessairement la forme et les principes de l’administration aujourd’hui établie dans la régence. Lorsque vous en trouverez l’occasion, sans vous exposer à susciter des discussions inopportunes, je vous prie de signaler confidentiellement cet état de choses à l’attention des ministres anglais, qui s’empresseront bien certainement d’y mettre un terme. » C’est à ce sentiment de réserve, pour ainsi dire internationale, qu’il faut attribuer, et c’est par lui qu’il convient d’expliquer la discrétion du gouvernement français dans les débats que la question d’Alger ne pouvait manquer de soulever dans les chambres.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2137646/f419.item
memoires talleyrand t3 417 (premier extrait de Rousset)
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talleyrand 10 juin 32
https://archive.org/details/mmoirespubli04talluoft/page/476/mode/2up
Idée de déporter.